Economie, mobilité, sobriété et bas carbone, le groupe RBR-T continue son exploration des futurs de l’immobilier et des territoires
Economie
Après la publication en 2017 de la note « Immobilier et bâtiment : cinq questions de prospective sur valeur et économie » la note « Design économique : agir sur la fabrique économique des projets immobiliers et urbains pour les rendre plus vertueux » analyse comment développer un immobilier à la fois plus vertueux et optimisé, face à l’inévitable montée des coûts (matériaux, main-d’œuvre, énergies) dus à la transition énergétique ? Les auteurs proposent des pistes de réflexions et d’actions et tracent ainsi le portrait d’une interrogation élargie des conditions de la fabrique économique des projets. Invitant à dépasser, déborder, les frontières plus habituelles des raisonnements en la matière. Ce travail a été piloté par Alice Fournier et Etienne Riot
Mobilité
Après la publication fin 2021 de la note « L’immobilier, partie prenante de la mobilité renouvelée » et la réalisation d’un cycle de débat disponible sous forme de podcast, la note « La ville, ça marche ?.. Le marcheur urbain face aux acteurs de la ville » trace une brève histoire de la marche en ville et ouvre des pistes de réflexion pour développer la marchabilité des villes ; cultiver la relation vertueuse qui semble lier marche, espaces urbains et chronotopie de la ville ; enfin, interpeller la commande publique et privée sur la fabrication des trajets urbains. Il s’agit en outre de renforcer une approche globale du bilan environnemental intégrant le poids carbone du bâtiment et des mobilités en s’intéressant autant aux différents profils sociologiques des usagers qu’aux systèmes techniques. Ce travail a été piloté par Bernard Roth, Pauline Detavernier et Sarah Wertheimer.
Le cycle de « L’immobilier, partie prenante de la mobilité renouvelée » est disponible sous forme de podcast ici :
Sobriété et bas carbone
La note « Vers des bâtiments bas carbone », publiée en 2015, a tracé la voie vers une bascule de la construction et de la rénovation vers le bas carbone. Elle a été à l’origine des travaux du label BBCA, de l’expérimentation E+C- qui ont conduit à la RE2020.
La note « Vers une sobriété immobilière et solidaire. Les voies d’une meilleure utilisation du parc de bâtiment. » explore une des voies esquissées dès 2015 et qui est amenée à prendre un essor important au moment où la sobriété énergétique, foncière, de matériaux devient une nécessité. Elle décrit 9 types d’actions permettant de développer une sobriété immobilière qui soit aussi solidaire avec des déclinaisons dans 6 types de territoires différents. Elle intègre des liens nombreux vers des actions de terrain qui mettent déjà en œuvre cette sobriété. Ce travail a été piloté par Jean Christophe Visier et Albane Gaspard
EN SAVOIR PLUS :
- Le groupe prospectif RBR-T
- L’immobilier, partie prenante de la la mobilité renouvelée, la note
- L’immobilier, partie prenante de la la mobilité renouvelée, les podcasts
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